Québec d'abord

Un environnement économique gagnant pour la Ville de Québec

Le 4 octobre 2021

Le sujet des taxes municipales est incontournable dans une campagne électorale, mais un fait demeure, les municipalités sont dépendantes des revenus tirés de l’impôt foncier pour offrir des services de qualité et répondre à leurs obligations. La candidate à la mairie de Québec, Marie-Josée Savard, a présenté la situation des taxes résidentielles et non-résidentielles sur le territoire de la ville avant d’exposer la vision du style de gestion qu’elle entend mettre de l’avant au lendemain d’une victoire le 7 novembre prochain. Sous son leadership, l’administration municipale sera responsable et aura un impact positif sur le développement économique de la ville de Québec.

« À la suite de trois années de gel de taxes en quatre ans, l’administration qui est en place et dont je fais encore partie, a préconisé l’approche de la taxation au taux d’inflation, autant au niveau résidentiel que commercial afin de faciliter la planification budgétaire de chacun. Mon équipe souhaite aller plus loin dans cette voie par la prise de deux engagements qui apporteront davantage de flexibilité et de sécurité pour tous les contribuables. Nous allons offrir en cours de mandat la possibilité d’acquitter la facture des taxes municipales en 12 versements sans intérêt. Aussi, nous limiterons l’augmentation annuelle des taxes résidentielles et non résidentielles au seuil de l’inflation réelle, avec un plafond d’augmentation fixé à 2,5 % pour éviter toutes mauvaises surprises aux citoyens.nes », s’est engagée Marie-Josée Savard.

Les différentes mesures pour faciliter la vie des citoyens.nes et leur apporter du réconfort ont été très appréciées et seront reconduites.  « Nous pouvons compter sur un cadre financier qui a fait ses preuves et qui nous a très bien servis pour traverser les moments difficiles de la pandémie. La prudence et la prévoyance ont permis de dégager la marge de manœuvre nécessaire pour faire face aux imprévus tout en s’acquittant de nos obligations à l’égard de nos concitoyens.nes et de l’entretien de nos infrastructures. Nous avons été en mesure d’offrir une qualité de service de premier plan à Québec tout en respectant nos capacités budgétaires, ce que l’agence de cotation Moody’s a plusieurs fois confirmé. Il est clair qu’en tant que mairesse, je poursuivrai dans cette direction », a fait valoir Mme Savard.

Et cette rigueur budgétaire permettra d’avoir les coudées franches pour la relance économique post pandémie qu’Équipe Marie-Josée Savard envisage. La construction du tramway arrive à point nommé dans ce contexte. Alors qu’on voit poindre le retour de grands événements et la reprise d’une vie sociale et professionnelle actives, les enjeux de mobilité reviendront d’actualité. Les travaux pour la construction du tramway doivent débuter sans plus de délais afin de respecter le budget et d’offrir dès que possible une nouvelle alternative attrayante aux gens de Québec pour se déplacer efficacement et rapidement entre les principaux lieux d’activités de la ville.

L’économie régionale sera la grande gagnante des retombées découlant d’un projet de 3,3 milliards $ en investissements sur le territoire de Québec. De petites, moyennes et grandes entreprises d’ici décrocheront d’importants contrats et au-delà du tramway, d’autres opportunités se dessinent déjà le long du tracé de près de 20 km. Cela représentera des bénéfices majeurs pour les gens d’affaires et la santé financière de la Ville, mais surtout pour les citoyens.nes de Québec qui verront les aménagements qu’ils utilisent régulièrement être renouvelés et améliorés.

Rappelons qu’avant même que la première pelletée de terre n’ait été donnée, les prévisions permettent d’anticiper un retour sur investissements dans un horizon de 25 ans pour la Ville de Québec (impact fiscal des investissements additionnels en construction résidentielle et commerciale). Par ailleurs, il est important de souligner que la contribution de 300 millions $ de la Ville de Québec au projet de tramway est déjà largement budgétée dans son plan d’investissement quinquennal (PIQ) 2021-2025. Seule une portion de 43,16 millions $ reste à être budgétée au-delà de cette période.

 « En tant que mairesse, je continuerai de gérer rigoureusement les finances municipales et j’accorderai une attention particulière afin de favoriser les interactions entre les citoyens.nes et l’appareil municipal. La pandémie a fait la démonstration à plusieurs égards qu’il est possible d’introduire les notions de flexibilité, d’adaptabilité et d’agilité dans l’administration pour faciliter la vie des citoyens.nes. Je l’ai observé dans le déploiement des activités réconfortantes, dans la mise en place des consultations publiques à distance, dans l’inspection des bâtiments en mode virtuel ou encore dans la valorisation de nos parcs et l’usage quatre saisons de nos sentiers, il est possible de faire bouger les choses. D’ailleurs, la gestion d’une ville ne se limite pas à offrir des services, mais bien à accompagner les citoyens.nes. C’est là une illustration supplémentaire de ce que nous entendons par une ville à partager », de conclure Mme Savard.